Dimanche détente

Sunday detox : dimanche 20 mars

L’équipe Burpees Studio vous convie à un évènement 100% détente le dimanche 20 mars de 9h à 12h. Au programme  : Yoga, Pilates et massage. Evènement gratuit ouvert aux non adhérents.

Inscription via Résamania, par téléphone au 02 47 88 08 48 ou par mail à burpeesstudio@gmail.com

 

Yoga et Pilates chez Burpees Studio

Emma adhérente chez Burpees Studio

Emma, 22 ans : « je détestais le sport…. »

Emma , 22 ans , adhérente à la salle de sport Burpees Studio, depuis novembre 2021. Un témoignage dans lequel beaucoup d’entre nous peuvent se retrouver ! Retour sur une évolution qui était inespérée pour elle. Elle nous raconte son histoire 

 

“ Je détestais le sport il y a encore 1 mois de ça. C’était un peu comme un mauvais mélange.. Et pourtant maintenant, j’y vais au minimum 3 fois par semaine, je me fixe des objectifs chaque jour. Étant petite, j’ai pratiqué plusieurs sports : le tennis, le judo, la danse, la gym.. mais aucun ne m’a fait vibrer..

 

Puis j’ai grandi, et j’ai totalement arrêté le sport.

Puis j’ai grandi, et j’ai totalement arrêté le sport. J’avais l’envie d’en faire, pour mon bien, pour ma santé, éviter les vergetures, la cellulite qui est le problèmes de toutes les jeunes femmes.. Mais la motivation n’était jamais là.

 

je m’étais inscrite dans une salle de sport….à chaque séance je m’ennuyais,

Il y a 3 ans de ça, je m’étais inscrite dans une salle de sport avec une amie, je pensais que ça me boosterait. Malgré sa détermination et ses encouragements, à chaque séance je m’ennuyais, je n’aimais pas ça, je ne comprenais pas comment je pouvais prendre du plaisir. Pour moi, c’était peine perdu.

 

je me suis essayé à un nouveau sport.. la course à pied !

Puis arrive le confinement, je me suis essayé à un nouveau sport.. la course à pied ! J’ai trouvé dedans une sensation de bien-être à la fin de chaque course, j’ai réussi à m’y tenir une fois par semaine. Mais la motivation était toujours très dure à trouver. Avec l’effort et la persévérance, j’ai pu participer aux 10 km de Tours ! Qui aurait pu croire ça ? Ça a été une révélation pour moi, l’ambiance, l’esprit d’équipe durant la course, puis après, retour à la réalité, tu cours et personne ne t’encourage .

 

Une amie m’a parlé ensuite de Burpees…j’ai tout de suite adoré !

Une amie m’a parlé ensuite de Burpees, des cours collectifs et de l’ambiance qui pourrait correspondre à ce que je recherchais. J’ai fait une séance d’essai, j’ai tout de suite adoré ! Je me suis inscrite le jour même. Ce n’est pas de simples cours collectifs, les coachs sont là pour nous motiver, nous donner le sourire même en plein effort. Les cours ne sont jamais les mêmes, il n’y a pas de routine. Il y a un réel suivi, une écoute derrière tout ça. Les adhérents autour ont toujours le sourire et la bonne humeur, un véritable esprit d’équipe se crée. Des fois je ne suis pas motivé, puis je me force à y aller car je sais que quoiqu’il arrive on me boostera et je trouverais des personnes motivées ! Et c’est ça qui me donne l’envie d’y aller : l’esprit de la salle tout simplement ! Le plaisir d’y aller ! Ce n’est plus du tout une corvée pour moi. Pour tous ceux qui n’aiment pas le sport comme moi, je pense que l’esprit Burpees peut vous redonner l’envie !

 

 

stage de communication

Burpees recrute un(e) stagiaire communication

Pour sa réouverture Burpees recherche à Tours un(e) stagiaire en communication et production multimédia pour les réseaux sociaux et les sites Internet du groupe. 

 

La mission consistera à alimenter les réseaux sociaux et les sites Internet des clubs Burpees de Tours.

 

Sous la responsabilité du directeur de la communication :

  • vous serez force de proposition lors la conception du plan de communication
  • vous créerez les contenus (photos, vidéos) nécessaires aux action
  • vous réaliserez les publications (post, story…)
  • vous rédigerez des articles de fond (interviewes, reportages…)

 

Profil

  • pratique d’un sport appréciée
  • maîtrise les outils de production multimédia
  • à l’aise à l’écrit (rédaction d’articles)
  • grande capacité d »intégration au sein des équipes de coaches
  • autonomie

Durée de la mission: à définir avec le candidat

 

Candidature : adressez vos candidatures à burpees37@gmail.com

 

 

Cours en extérieur Burpees

Entraînez-vous en extérieur avec votre coach

À partir du samedi 6 février, avec Burpees Wild les équipes Burpees vous proposent des trainings extérieurs en « small group » et sans matériel.  L’objectif de ce programme très « Urban Style » est de vous inviter à rejoindre votre coach en petite foulée depuis votre domicile pour vous entraîner sur un spot agréable proche de chez vous. Sans matériel, à proximité, vous n’avez plus d’excuse pour ne pas vous entraîner. 

 

Burpees Wild, des trainings accessibles et sans matériel

La philosophie du programme Burpees Wild est de renouer avec les cours in situ tout en respectant les contraintes imposées par les autorités. Ces trainings doivent donc avoir lieu sur le domaine public avec des groupes de 5 personnes au maximum plus le coach. L’option sans matériel a été retenue pour ne pas rapatrier le matériel prêté et priver nombre d’entre vous de la possibilité de s’entraîner chez eux au seul bénéfice de petits groupes. La logistique s’en trouve également grandement allégée et facilite l’organisation.

 

Un coach, un spot !

Chaque coach choisira son spot et le conservera pendant toute la durée du programme (parc, rives de fleuve, plage à Biarritz…). Vous devrez vous inscrire sur Résamania ou Déciplus ce qui permettra de gérer le nombre de places et au coach de communiquer avec vous par mail sur les thématiques d’entraînement. Vous n’aurez besoin d’emmener aucun matériel.

 

9 cours le week-end : un dispositif progressif

Dans un premier temps les cours seront proposés uniquement le week-end. Ils dureront 30 min. Il y en aura 3 le samedi matin (10h – 10h40 -11h20), 3 le samedi après-midi (14h30 -15h10 -15h50) et 3 le dimanche matin (10h-10h40-11h20). En fonction de son succès et les jours rallongeant, ce dispositif pourra être étendu la semaine.

 

 

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Burpees Studio

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Burpees Tours Sud

Burpees Biarritz

 

Evenement Yoga à Tours

Evènement Yoga – 108 salutations au soleil

L’événement Yoga Burpees Studio, les 108 salutations au soleil, se tiendra le dimanche 21 juin 2020 de 13h à 15h.


Pour l’heure l’événement est complet pour les participations physiques mais vous avez la possibilité d’y assister via Zoom contre un don de 5 euros (via le bouton ci-dessous) à l’association La table de Jeanne-Marie.

 

Vous aurez accès au code de la session Zoom une fois le don validé.

Vous pouvez contacter l’équipe à l’adresse suivante burpeesstudio@gmail.com





famille en confinement

Marie, Sascha, Liam et Morgan : une famille en confinement

Marie, Morgan et leurs deux garçons, Sascha 11 ans et Liam 6 ans et demi, sont confinés ensemble depuis le 17 mars. Leur grand appartement du centre de Tours est devenu le refuge familial d’une vie habituellement trépidante. Tous ont dû ralentir, réinventer les journées et les moments partagés. Le temps s’est suspendu mais la vie se poursuit, autrement.

Motiver les enfants sur le roman de Renart

« Habituellement je ne suis pas là la moitié de la semaine entre la salle de sport à Paris et parfois à Biarritz, puis en rentrant à Tours les cours le week-end m’occupent bien aussi » les journées ont radicalement changé pour Morgan, athlète, coach et patron, comme pour sa famille depuis l’ordre de confinement du 17 mars. « On se lève plus tard le matin vers 8h, 8h30, on prend le petit dej’ en famille et Morgan part s’entraîner une partie de la matinée. Ensuite je m’occupe des devoirs des enfants ».

Je pète les plombs des fois

Marie, la prof de Pilates, coache désormais ses deux garçons et jongle entre le programme de 6e de Sascha et celui de primaire de Liam, « ça me prend une énergie folle, d’abord parce que ça demande énormément de temps et ensuite parce qu’il faut réussir à motiver les enfants sur le roman de Renart par exemple. Je pète les plombs des fois mais on s’accroche et on y va. » La matinée file à toute vitesse. Vers midi Marie s’attèle au repas et les enfants profitent de la première pause « écran » de la journée.

Et 1h30 à 2h30 de devoirs en plus…

« Je rentre de l’entrainement pour partager le repas en famille, un moment privilégié que nous offre le confinement, confie Morgan, et ensuite je vais faire une petite sieste post entraînement » Pendant ce temps Marie réattaque l’après-midi avec 1h30 à 2h30 de devoirs avec les enfants « Je viens l’aider en m’occupant de Liam une fois que j’ai bouclé tous les coups de fil que je dois passer pour faire tourner les équipes de coachs à Paris et à Tours et gérer les salles de sport dont je suis l’associé. Les clubs continuent de tourner car on doit proposer des cours en ligne aux adhérents et qu’il faut aussi gérer toutes les questions administratives ».

 

Tournoi de balle au prisonnier

En fin d’après-midi la famille organise une activité physique dans la cour privative de l’immeuble « le plus souvent c’est une balle au prisonnier, je me mets avec Sascha contre Morgan et Liam, s’amuse Marie, et d’autres fois on organise des trainings ».

Morgan un pro de la plancha

A l’heure du dîner, Marie s’affaire en cuisine souvent aider de Morgan devenu un pro de la plancha sur le balcon. Les enfants profitent d’une nouvelle pause « écran ». Vient l’heure du repas puis de la soirée « les mardis, vendredis et samedis soirs on reste en famille en mode plateaux télé, les autres jours on se les réserve pour nous deux, précise Marie. C’est important pour nous mais aussi pour conserver un rythme scolaire aux enfants ».

 

On regarde très peu les infos

« Au début de la crise Sascha était très inquiet notamment à cause des infos. Morgan et moi nous sommes plutôt détachés ce qui a permis d’alléger beaucoup les choses pour les enfants. On regarde très peu les infos et les journées sont bien occupées. On reste malgré tout informés de la situation mais sans le faire peser sur les enfants ».

Ils ont hâte de reprendre l’école

Pour Marie le confinement se passe bien pour Sascha et Liam bien qu’ils se disputent souvent et qu’il faut faire la police en permanence « ils arrivent malgré tout à jouer ensemble et quand le ton monte, pour eux comme pour nous, ça redescend assez vite puisque l’on sait tous qu’on doit rester ensemble. Ils sont occupés et la situation est en partie dépaysante pour eux mais ce qui leur manque le plus ce sont leurs potes et le basket notamment pour Sascha qui est en section sportive. En attendant il arrive à les retrouver virtuellement en ligne avec son casque de gamer. Mais bon ils ont hâte de reprendre l’école et de se dépenser avec des garçons de leur âge ».

Mes adhérents me manquent

Pour Morgan les enfants vivent mieux le confinement que les adultes « personnellement les 10 premiers jours j’étais stressé à cause du business des salles de sport. Il fallait gérer cette situation pour pas que les boîtes coulent. Ensuite les enfants ont une vie sociale moins active que nous. Nous voyons du monde tout le temps, les adhérents notamment ». Marie confirme « mes adhérents me manquent. Ils me parlent beaucoup de leur vie d’habitude, de leurs histoires et là plus rien. Cet échange me manque et je suis pressé de les retrouver. On a besoin de ce contact. Quand on va me dire de sortir je vais aller à mon travail sans me poser de question. L’autre jour la femme de Louis est passée sous nos fenêtres pour faire un coucou. Ça fait un bien fou. On a tous besoin de ça et vivement qu’on le retrouve ».

 

Nous n’avons pas peur

Marie prend le confinement très au sérieux : « on joue le jeu à fond. Je ne vais faire les courses que tous les 10 jours principalement par respect pour ceux qui doivent bosser et on en connait. Ils prennent des risques pour nous. Je trouve horrible que certains aillent faire leurs courses tous les jours ».

On se sent forts grâce au sport

A la question de la peur de la maladie Marie répond sans hésiter « on se sent forts grâce au sport. On le voit on n’a jamais autant parlé de sport partout. Aujourd’hui tout le monde fait la promotion du sport comme un rempart, une manière de se protéger et de mieux résister aux agressions extérieures ». Morgan acquiesce et se projette déjà dans l’après « on voit déjà que le business va évoluer. On revoit du fitness à la télé. Les gens vont se tourner vers nous, on va voir arriver de nouveaux pratiquants dans les salles. Il va falloir répondre présents. On a un rôle à jouer ».

 

Une parenthèse qui fait réfléchir

Ralentir, profiter de ce que l’on a construit

« Ce confinement arrive l’année où on n’avait jamais prévu autant de choses, ironise Marie, on devait partir au ski, Morgan avait un voyage de prévu à New York et moi au Vietnam. Pas grave tout ça n’est que partie remise ». Morgan, lui, prend ce confinement comme un signe du destin « on court depuis l’ouverture de Burpees il y a 5 ans et 2020 devait être l’année où on commençait à s’en sortir financièrement. Le confinement vient juste nous rappeler le virage que nous voulions prendre dans notre vie, ralentir, profiter de ce que l’on a construit simplement et arrêter de courir pour avoir toujours plus ».

Il y a une prise de conscience des gens

Morgan espère que les choses vont changer « quand on est dans des événements comme celui-ci, proche d’une guerre, je pense qu’il y a une prise de conscience des gens et on espère que les mauvaises habitudes ne reviendront pas. Nous, nous sommes déjà dans de la consommation locale même si comme tout le monde on peut parfois céder à la facilité d’acheter un truc qui vient d’Asie. Les gens vont peut-être se motiver pour acheter français, stimuler l’industrie et faire gaffe ».

 

Morgan craint que les gens aient du mal à revivre ensemble, à se faire la bise « on va aller vers plus d’hygiène mais j’espère aussi vers plus de solidarité et de simplicité ». Pour Marie c’est tout le contraire « les gens vont vouloir profiter de la vie ! ».

 

« Quand tout ça sera fini Morgan ira chez le coiffeur ! » s’esclaffe Marie. « Moi j’irai boire une bonne bière avec des potes » prévient Morgan.

Mathilde prof de yoga Burpees Studio

« Le confinement, je m’en fais un cadeau » Mathilde, prof de yoga chez Burpees Studio

Mathilde, 26 ans, est professeur de yoga chez Burpees Studio, salle de sport à Tours quartier des 2 Lions. Comment le yoga est entré dans sa vie et l’a transformée ? Comment il lui permet aujourd’hui de vivre à sa façon ce confinement qui s’impose à tous ? Rencontre avec Mathilde, la petite fille hyperactive devenue professeur de yoga.

 

J’étais une petite fille hyperactive

Je suis arrivé à Tours en 1999 avec mes parents quand j’avais 5 ans. Tous les deux restaurateurs à Paris ils voulaient, nous éduquer mon frère et moi dans un endroit un peu plus calme et aéré que Paris. Pendant plusieurs années ma mère faisait l’aller-retour à Paris tous les jours. J’ai des supers souvenirs de cette période car je l’accompagnais au travail le week-end pour servir les cafés et aider le chef à cuisiner. C’était surtout pour me canaliser car j’étais une petite fille hyperactive qui s’ennuyait tout le temps. Alors c’était ça où le sport. Je faisais toujours quelque chose, de la danse, de l’équitation, du dessin, de la lecture, ma seule angoisse c’était de ne rien faire. En grandissant c’est devenu plus facile car je trouvais plus d’occupations qui me permettaient de mieux gérer cet excès d’énergie.

 

C’est pendant cette année que j’ai commencé le yoga

À la fin du lycée je ne savais vraiment pas quel chemin prendre. Qu’est-ce que je voulais faire tout au long de ma vie ? Je suis curieuse, j’adore apprendre, j’adore découvrir et voyager. Du coup j’ai décidé de rentrer en bi licence droit langue espagnol. Mais finalement ce n’était pas mon truc ! Je faisais le boulot mais je ne m’épanouissais pas. J’ai alors décidé de tenter les concours d’orthophonie après un an de prépa.

Je prenais des cours de hatha yoga

C’est pendant cette année que j’ai commencé le yoga pour gérer le stress et la charge de travail. Je prenais des cours deux fois par semaine, des cours de hatha yoga hyper traditionnel bien loin de l’image qu’Instagram donne à la pratique. On bougeait d’abord chacune de nos phalanges en conscience sur le souffle, des salutations au soleil, postures debout, assises, inversée et une relaxation. C’est là que j’ai découvert que je pouvais me mettre sur pause. Le silence devenait de plus en plus confortable, le “rien faire » aussi. Puis le yoga a pris de plus en plus de place dans ma vie. Tous les matins je pratiquais à la maison, je mangeais différemment, pensais différemment. Ça n’a pas été un déclic, ni une décision, c’est venu progressivement pour finalement devenir mon style de vie sans que je m’en rende vraiment compte.

C’est là que j’ai décidé de faire du yoga mon métier

Mon projet d’orthophonie n’a finalement rien donné. Je n’ai pas été accepté à cause d’un problème ORL. Ça a été un peu le coup de massue car j’avais vraiment l’impression d’avoir trouvé une activité dans laquelle tous les aspects de ma personnalité pouvaient s’exprimer. Ensuite J’ai connu une période de transition pendant laquelle J’ai travaillé un an et demi à l’hôpital en tant que secrétaire. J’ai adoré cette période ! Ce job était un bon moyen de me poser, de faire du sport, de voyager et de réfléchir à mon avenir. C’est là que j’ai décidé de faire du Yoga mon métier.

 

J’ai décidé de partir en Inde pour apprendre le yoga

L’IPMS , une étape importante pour devenir prof

Alors après ces quelques temps à l’hôpital j’ai décidé de rentrer à l’IPMS avec une année de prépa. Je savais que je ne bosserais pas en tant que coach de fitness mais ça me semblait être une étape nécessaire pour devenir prof de yoga. C’est d’ailleurs à cette période que je me suis lancée dans le yoga en proposant des micros cours ou des petites relaxations à mes camarades de classe. Nous avions un rythme hyper soutenu au niveau physique en plus les révisions et ces petits cours nous faisaient du bien.

L’Inde pour une formation de 200h

Juste après le diplôme j’ai décidé de partir en Inde suivre une formation de 200h en hatha yoga et Ashtanga. J’ai pris mes billets d’avion pour Rishikesh et arrivée à New Delhi c’était comme une évidence. J’étais juste là où je devais être. Les formations de yoga c’est un truc qu’on devrait tous faire je crois.

Pendant 1 mois, 12 heures par jour, c’est toi. Toi dans ton corps, toi dans ton souffle, toi dans ta tête. On te transmet une philosophie, un mode de vie, que tu confrontes à tes expériences, tes valeurs et ça t’aide à faire ressortir qui tu es vraiment. Au fond, ça t’aide à déculpabiliser et à t’accepter. Tu apprends à avancer dans ce monde en traçant ta propre voie loin du conformisme qu’on attend de toi. Tu apprends à faire ce qu’il faut, à prendre les bonnes décisions, sans renoncer à qui tu es. Quand on t’enlève cette culpabilité et bah wahou ça laisse tellement de place pour faire bien.

 

Pratiquer le yoga pour l’apprendre

En rentrant d’Inde j’avais gardé un peu d’argent de côté pour me “lancer” à 10000% dans le yoga. J’ai commencé à intervenir dans diverses salles, auprès d’entreprises, de particuliers.

300h de stage intensif en plus

Au début c’était compliqué et ça ne prenait pas tout son sens mais c’était mon chemin. Ça a mis un peu de temps à se mettre en place. J’ai dû continuer les formations, près de 300 heures de stages intensifs, parce que le yoga s’apprend par la pratique. Pas besoin de le raconter, de l’expliquer, tu te poses sur le tapis, tu fermes les yeux, tu respires.

Je donne cours avec le sourire et une profonde envie

Cet apprentissage a pris deux ans et ça a tout changé. Ça a pris du temps mais maintenant je suis exactement dans les endroits qui me tiennent à cœur. Je suis hyper reconnaissante envers ces groupes avec lesquels j’évolue de semaines en semaines. J’apprends énormément et je vais en cours avec le sourire et une profonde envie et ça c’est un maxi cadeau.

 

Une vision du yoga que je transmets

Le yoga c’est faire avec ce que l’on est, ici et maintenant

L’idée du yoga que j’essaye de transmettre aujourd’hui, c’est que chacun fasse avec les bobos du jour, avec l’humeur et les pensées du jour. Il y a autant de postures que de corps alors d’abord c’est de l’écoute. On n’a rien à réussir ni à gagner mais on se doit de le faire. En conscience. « pratique, pratique, pratique et tout vient » comme dit l’une des profs qui m’inspire beaucoup. Et c’est vrai en fait, que ce soit par le mouvement, le souffle, la méditation fais le juste, avec ce que tu es tout de suite et maintenant. En cours j’essaie vraiment de développer cette idée . Ça aide à s’accepter, ça aide à se dépasser et à sortir de sa zone de confort, parce que c’est en dehors de cette foutue zone que tout arrive

Avec le yoga, le confinement, je m’en fais un cadeau

Cette vision je l’applique à la période que nous traversons. Le confinement je m’en fais un cadeau. Ça me donne le temps de pratiquer beaucoup, d’aller un peu plus loin dans ma pratique de la méditation mais ça me permet surtout le lâcher prise. Le temps est devenu un truc un peu bizarre qui n’a plus trop de sens alors je vais surfer cette vague. Lire quand j’ai envie de lire, faire du yoga, classer et surtout s’autoriser à ne rien faire. Se déculpabiliser de toute obligation morale entre soi et soi et vraiment être ok avec le fait de se mettre sur pause. J’espère qu’on ne connaîtra pas d’autres périodes de confinement, mais aujourd’hui nous n’avons pas le choix, alors faisons juste avec et respirons là où nous sommes. Juste respirer, s’écouter et amener le yoga en dehors du tapis.

 

Séance de yoga en live avec Mathilde

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| Conscious breaths | Chose promis chose due. Ok le format je parle à mon tel dans le salon ne me mets pas super à l’aise mais ça nous permet de continuer à pratiquer “ensemble” Des respirations conscientes, c’est même pas 10’ de pratique. 10’ de pause parmi la pause. Pour se faire du bien, avant, après ou indépendamment des asanas. N’importe quand, n’importe où. Ca prépare à Nadi Shodana, la respiration alternée et ça fait du bien. Si ça vous plaît je tacherais de me discipliner à me parler. Sinon vous aurez peut être le droit à un making off des 98 prises (ça aurait pu continuer longtemps, j’ai besoin d’aide les blogueuses / influenceuses la partagez vos tuyaux) Pendant ma pratique sur @alomoves ce matin @dylanwerneryoga a dit “it’s not bad it’s just different” et j’ai décidé que ce serait mon san Kalpa d’aujourd’hui. J’espère que vous et vos proches allez très bien, Love & Light 💫 Mathilde 💋

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5 séances de running débutant pour la semaine 1

Burpees studio, votre salle de sport aux 2 Lions, est physiquement fermé jusqu’à nouvel ordre pour respecter les règles de confinement mais reste virtuellement ouvert en vous proposant des séances de sport à faire chez vous. Restez attentifs aux consignes des autorités sanitaires et respectez-les. Première série de trainings pour la première semaine de confinement, des séances de running pour débutants proposées par Cédric, le coach du cours de Run’it du mercredi.

Consignes générales de vos séances de running

  • Respectez les consignes des autorités sanitaires
  • Pas de regroupement. Courrez seul ou avec quelqu’un de votre foyer
  • N’utilisez pas le mobilier urbain pour vous étirer ou rajouter des exercices
  • Équipez-vous d’une bonne paire de chaussures
  • Hydratez-vous et munissez-vous d’une gourde dans un sac
  • Ne partez pas trop vite. Ecoutez-votre corps pour bien gérer votre séance.

 

Lexique des allures 

  • Allure cool  : courir tranquillement à son rythme, footin
  • Marche active : marche dynamique avec bras actifs
  • Allure modérée : allure footing +
  • Courir vite : vitesse de course rapide (attention de ne pas partir trop vite

 

Séance 1  – running de 36 minutes

  • 6 min allure cool + 4 min marche active
  • 6 min allure modérée + 4 min marche active
  • 6 min allure modérée + 4 min marche active
  • 6 min allure cool

 

Séance 2 – running de 30 minutes

  • 10 min allure cool
  • +Répéter 5 fois (10 min) :  1 min courir vite  + 1 min courir lentement ou marche
  • 10 min allure cool

 

Séance 3 – running de 36 minutes

  • 6 min allure cool + 4 min marche active
  • 6 min allure modérée + 4 min marche active
  • 6 min allure modérée + 4 min marche active
  • 6 min allure cool

 

Séance 4 – running de 30 minutes

  • 10 min allure cool
  • +Répéter 5 fois (10 min) :  1 min courir vite  + 1 min courir lentement ou marche
  • 10 min allure cool

 

Séance 5 – running 35 minutes

  • 15 min allure cool + 5 min marche active
  • 10 min allure modérée + 5 min marche active
Enriqué Dubut directeur Burpees Studio

« Dans notre salle de sport, les gens ne sont jamais seuls » Enriqué, manager de Burpees Studio

Enriqué Dubut, 30 ans, est le directeur associé de la salle de sport Burpees Studio aux 2 Lions. Depuis septembre 2018, avec son équipe, il fait grandir ce club atypique dans l’univers des salles de sport. No machine, 100% coach, Burpees studio propose uniquement des cours collectifs coachés avec près de 55 créneaux par semaine allant du Yoga à l’entraînement physique intense. Rencontre avec un manager de salle de sport, pas comme les autres.

 

J’étais un jeune prof de zumba, de ragga

L’idée du studio est née en 2015 avec la création de l’enseigne Burpees à Tours Nord. Le projet était de créer un club de sport associant une box de CrossFit et un studio de fitness. À cette époque les associés fondateurs m’ont contacté pour faire partie de l’aventure. J’étais alors un jeune prof spécialisé dans les cours de fitness dansés type Zumba et Ragga. C’étaient des cours uniques car j’y avais mis un style bien à moi. Du coup ça cartonnait car aucun autre club ne proposait des cours aussi originaux. Je correspondais exactement à ce que recherchait Burpees, des coachs qui créent leurs propres cours de fitness et qui s’y investissent pleinement. C’est comme ça que l’aventure a commencé à Tours Nord en 2015 puis s’est ensuite poursuivie aux 2 Lions

 

On voulait créer une salle de sport plus humaine

Quand on a créé le Studio à Tours Nord, avant de le déménager aux 2 Lions, on voulait créer une salle de sport plus humaine, communautaire. Cette idée est née du constat que les salles de sport avaient tendance à se déshumaniser en proposant toujours moins de coachs pour tirer sur les tarifs. Du coup les gens se retrouvent seuls sur une machine ou face à un écran vidéo. Moi je trouve ça triste sans parler de la faible plus-value en termes de coaching.

Les gens s’entraînent seuls, souvent mal et leurs efforts sont peu récompensés

Les gens s’entraînent seuls, souvent mal et leurs efforts sont peu récompensés. On les dégoutte des salles de sport avec un modèle économique qui repose sur le turn over. Avec le studio on a décidé de ne proposer que des cours collectifs encadrés par un coach. Dans notre salle de sport, les gens ne sont jamais seuls, le coach vient toujours les voir et ils partagent une expérience, un moment de la journée, avec les autres participants aux cours.

 

Laisser aux coachs l’autonomie de créer et de diriger leurs cours

En 2015 quand on a commencé, on a fait comme toutes les salles de sport, on a acheté certains cours sur étagère. Tous les 3 mois le coach reçoit une chorégraphie et une bande-son, il apprend le cours par cœur et le restitue aux adhérents. Certains de ces cours sont bien conçus et plutôt de bonne qualité mais on voulait proposer une autre expérience, prendre le contre-pied avec moins de routine et surtout donner une autre place aux coachs. En 2018, quand on a déménagé aaux 2 Lions on a décidé de ne plus acheter de cours mais de laisser aux coachs l’autonomie de créer et de diriger leurs cours comme ils le veulent. Ça a changé beaucoup de choses dans le rapport que les coachs ont avec leurs adhérents et sur la qualité du coaching qu’ils dispensent.

le coach montre le mouvement et passe voir chaque adhérent

La première chose c’est que le coach dispense un cours qu’il a créé. Il est donc plus investi et humainement c’est beaucoup plus valorisant pour lui. Ensuite chaque cours est désormais différent du précédent et on offre ainsi une nouvelle expérience à chaque cours et non plus tous les 3 mois. Enfin le coach n’est plus en exhibition, c’est-à-dire qu’il n’est plus sur une estrade à animer le cours suivant la même chorégraphie prévue à chaque cours. Désormais le coach montre le mouvement et passe voir chaque adhérent pour le motiver et le corriger et ça fait une grande différence. Chez nous le coaching n’est pas seulement personnalisé, il est permanent !

 

Nous connaissons quasiment tous les adhérents par leurs prénoms

Aujourd’hui je gère une équipe de 12 coachs et nous dispensons 55 cours de fitness par semaine. Ça va du yoga pour le plus calme à l’entraînement intense ou le cours de danse effréné pour les plus énergiques. Je pense que nous avons réussi à créer un lieu où les gens ont plaisir à se retrouver pour venir faire du sport. Ici il n’y a pas de personnes isolées focalisées sur leurs téléphones avec des oreillettes.

Les gens se connaissent à force de s’entraîner ensemble et des liens se créent

Les gens se connaissent à force de s’entraîner ensemble et des liens se créent, parfois d’amitié, parfois plus. Nous-mêmes nous connaissons quasiment tous les adhérents par leurs prénoms et à l’accueil l’ambiance est souvent très familiale. Les coachs sont très attachés à leurs cours et surtout aux gens qui y participent. Je pense qu’humainement on a réussi à créer la salle de sport qu’on imaginait en 2015.

 

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